De la Croatie à l’Afrique du Sud
L’U2 embarque pour des voyages hors du commun
À Dubaï, j’ai porté l’U2 à la découverte d’épaves sous-marines et dans mes randonnées dans le désert. La teneur en sel du golfe d’Arabie est très élevée et je ne pouvais pas rincer ma montre à l’eau douce entre les plongées, ce qui n’a absolument pas endommagé la boîte, construite en acier pour sous-marin. Ces plongées ont aussi donné lieu à différents chocs, dont l’U2 s’est tirée sans aucune égratignure. Malgré une mauvaise visibilité sous l’eau, la lisibilité est là encore restée optimale. Dans le désert, elle a été exposée à des températures dépassant les 40 °C, à la poussière, au sable et aux secousses, obstacles qu’elle a vaillamment surmontés.
Mais le voyage le plus difficile fut sans aucun doute la traversée de l’Afrique du Sud : plus de 5 500 km de Johannesburg au Cap. L’U2 m’a accompagné sans coup férir lors de mes safaris dans les parcs nationaux. Les vibrations permanentes du volant lors des journées passées sur les pistes ne lui ont fait ni chaud ni froid. Les températures supérieures à 40 °C et l’humidité très élevée n’ont pas eu non plus d’influence notable sur la marche.
Mais ce n’est pas tout : j’ai aussi porté l’U2 dans les océans Indien et Atlantique. Dans l’océan Atlantique, elle a dû supporter des variations de température brutales : sur le bateau, la température frôlait les 35 °C, mais l’eau n’était qu’à 15 °C – et pourtant, la glace ne s’est pas embuée. Inutile de préciser que l’U2 est là encore sortie indemne de ses nombreux « contacts avec l’ennemi ».
L’U2 était aussi de la partie lors de mes randonnées dans le Drakensberg et le Swartberg. Elle a dû y affronter la sueur, la poussière, des routes de montagne caillouteuses, avec leur lot de vibrations et de chocs.
Ma conclusion à l’issue de ces voyages extrêmes : l’U2 est une montre très solide, avec laquelle on peut effectivement s’engager dans les aventures promises par SINN dans sa publicité. »